Lycée Champ Blanc

Lycée Enseignt General Et Technologique – Sevremoine

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1ere S2 Où le cours de Physique rencontre le cours de lettres

Où le cours de Physique rencontre le cours de Français!

En sciences physiques, le programme de première S nous incite à «utiliser l’approche historique comme démarche didactique destinée à mettre la science en contexte et en culture». Travailler sur la découverte de l’élément Hélium permettait cette approche.

En français, ce projet collaboratif nous a permis d’écrire un court texte en respectant les techniques d’écriture utilisées communément par le monde journalistique. Ce projet nous a également donné l’occasion d’unir étroitement dans un article le monde de la science et celui des lettres.

Il a donc été demandé aux élèves d’écrire un article de presse datant de la fin du XIXème siècle (ou du début du XXème siècle) après la découverte de l’élément Hélium dans le Soleil.

Quatre articles ont été retenus par les professeurs ayant encadré le projet: Mme Meillerais (en Français) et Mme Le Ny (en Physique)

Bonne lecture

Ont été retenus les textes écrits par: Marine Etourneux, Chloé Durance et Mélissa Grivet; Thomas Brémond, Blandine Chouteau et Manon Chateau ; Manon Terrien, Romane Lahaye et Maëliss Samson ; Maxime Ploteau

Comment avons-nous découvert la présence d’hélium sur le Soleil, puis sur La Terre!

Depuis des années, les plus grands physiciens du monde recherchent la composition des étoiles, en particulier celle du Soleil! Les scientifiques ont déjà réalisé des merveilles en matière de découverte; ils savent décomposer la lumière à l’aide d’un réseau, ils connaissent la photographie et savent expliquer les spectres d’émission et d’absorption. Et surtout, ils savent que chaque spectre est la signature d’un élément chimique!

Aujourd’hui, 2 janvier 1869, les avancées scientifiques sont encore plus spectaculaires!!

En 1814, le munichois Fraunhofer s’aide d’un spectroscope, pour décomposer la lumière solaire et obtenir un spectre. Il découvre avec surprise, que ce spectre du soleil est un spectre d’absorption. Il se demande alors pourquoi il en est ainsi. La double raie sombre située dans le jaune du spectre l’intrigue beaucoup. D’où viennent-elles? A quels éléments chimiques appartiennent-elles? Ce sont les questions que se posent les scientifiques du monde entier…

Quelques années plus tard, en 1859, Kirchhoff émet l’hypothèse que le soleil et entouré d’une atmosphère, ce qui expliquerait les raies sombres présentes sur le spectre. Grâce à lui, nous savons que ces 2 raies noires sont la signature spectrale d’un même élément chimique, le sodium. L’histoire ne se termine pas là.

En 1868, c’est la découverte croustillante grâce à une éclipse totale du soleil. Jules Janssen découvre dans le spectre d’émission de la couronne solaire une raie jaune qui ne correspondait à aucun élément chimique connu jusqu’à ce jour: il fut nommé Hélium, en hommage au dieu Hélios.

Mais la découverte ne s’arrête pas là en cette année nos chercheurs ont découvert que l’Hélium n’existait pas que sur le soleil mais aussi sur terre. Ainsi aujourd’hui on a découvert un nouveau gaz qui compose notre atmosphère!!!!!

Imaginez-vous: nous respirions un gaz qu’on ne connaissait pas! Peut-être en existe-t-il d’autres que nous respirons sans les connaître…

Le Vendredi 22 Novembre 1904

L’Atome

Et l’hélium fut!

La physique nous a toujours permis de comprendre le monde qui nous entoure. Mais aujourd’hui, suite à un siècle de découvertes sur la lumière, alors que nous pensions tout savoir, une découverte va faire la preuve de notre ignorance.

Courant du XIXe siècle, les physiciens ont longuement travaillé sur la lumière. Ainsi, ils apprennent à décomposer la lumière et à en obtenir le spectre. Ils arrivent à différencier et expliquer les spectres d’absorption (raies noires sur un fond coloré) et d’émission (raies colorées sur fond noir). La disparition de certaines raies sur un spectre sert à identifier des éléments: c’est leur signature spectrale. Mais c’est l’invention de la photographie qui va être déterminante pour les découvertes à venir.

Spectre de la lumière blanche

En 1814, le physicien allemand Fraunhofer réalise le spectre du Soleil qu’il photographie. Il obtient ainsi un spectre d’absorption. En 1859 Kirchhoff émet l’hypothèse que le soleil possède une atmosphère, appelée chromosphère. Cette atmosphère est constituée de gaz qui absorbent certaines radiations. Il faudra attendre 1869 pour que Kirchhoff observe que certaines raies absorbées correspondent à la signature spectrale du sodium.

Spectre du Soleil, 1814

En 1868, grâce à une éclipse totale du soleil, le français Jules Janssen réalise le spectre de l’anneau de lumière restant durant l’éclipse totale. Cet anneau de lumière correspond à la couronne solaire. L’intensité de la lumière ayant diminué, une raie d’absorption inconnue jusque là apparait. En effet, cette raie se confondait avec les raies du sodium. Elle ne correspondait à aucun élément connu sur Terre. Il fut baptisé Hélium, en rapport avec Hélios, le dieu du Soleil. Cet élément fut découvert 27 ans plus tard sur Terre.

Ainsi la physique prouve qu’Auguste Comte et sa célèbre citation «en ce qui touche les étoiles, nous ne sauront jamais étudier par aucun moyen leur composition chimique ou leur structure minéralogique et à plus forte raison la nature des corps organisés qui vivent à leur surface.» était erronée. Mais le soleil nous a-t-il encore dévoilé tous ses secrets?

Mardi 26 novembre 1930

Le quotidien

L’histoire de l’inconnu autour du soleil.

Depuis longtemps déjà, nous savons décomposer la lumière blanche, grâce à notre confrère Isaac Newton et son objet si précieux, le prisme de verre..

Mais le 18 août 1868, une éclipse totale va changer la vision de la science avec la découverte d’un nouvel élément chimique …

Avant cet événement qui a bouleversé la science, les physiciens savaient déjà réaliser les spectres d’émission et d’absorption de plusieurs sources de lumière. Les spectres, pour ceux qui ne connaissent pas, sont des images issues de la décomposition de la lumière.

Leur talent ne s’arrêtait pas là, ils savaient aussi les différencier et les expliquer. Leur maîtrise nous permet aujourd’hui, au XXème siècle, de comprendre pourquoi un spectre d’émission est noir avec des raies de couleurs et pourquoi un spectre d’absorption a des raies noires sur un fond coloré.

Leurs recherches leur ont permis de trouver que la signature spectrale d’un élément chimique (la façon de le reconnaître) est le spectre de raies d’émission ou d’absorption de cet élément.

Depuis plus d’un siècle, en 1814, le génie du Soleil, Joseph Fraunhofer a découvert le spectre du soleil. Pour la première fois, c’était une expérience très réussie. Il a fait une révélation dans le monde et a aidé tous les autres physiciens en disant que le spectre du Soleil est composé de raies d’absorption noires.

C’est en 1859, que notre talentueux physicien Kirchhoff résout enfin l’énigme de l’existence de ces raies noires: il en déduit que le Soleil a une atmosphère, nommée chromosphère, comportant plusieurs gaz qui absorbent certaines radiations émises par le cœur de l’étoile. Grâce à Fraunhofer, il découvre les raies du Sodium (Na) dans le spectre du Soleil et ainsi il en conclut que le Sodium compose la chromosphère.

Jusqu’à ce fameux 18 août 1868 lors d’une éclipse totale, un physicien nommé Jules Janssen va bouleverser la science. Il décide d’observer la couronne du Soleil et il en réalise son spectre d’absorption. Pendant l’éclipse, l’intensité lumineuse a beaucoup diminué et Janssen perçoit principalement une raie noire inconnue, qui est très proche des deux raies du Sodium. Comme aucun élément ne leur permet de retrouver cet élément chimique sur Terre, alors il décide de nommer cette raie Hélium (He), en l’honneur du dieu Soleil, Hélios.

1ere STMG visite de Paris

Dans le cadre du cours de droit, le député-maire de Cholet M Bourdouleix est intervenu en 1ere STMG pour expliquer le cheminement de la loi. Suite à son invitation, la classe est allée à Paris visiter l’Assemblée Nationale et le quartier de la Défense.

Ci-dessous quelques remarques d’élèves suite à cette journée :

« La sortie de Paris de mercredi de la semaine dernière m’a beaucoup plu, car elle nous a permis de découvrir l’assemblée nationale, un lieu que je n’ai jamais vu en vrai. Il paraît tellement grand à la télévision et finalement la salle était pas si grande que je me l’imaginais. » Manon

« D’après ce que notre guide a dit, pour moi l’Assemblée est un petit village pour les Députés avec plein de services à leur disposition.Alors que la Défense est un immense centre d’affaires, à l’architecture moderne. Un quartier qui est nettement plus froid, très impersonnel. » Margot

« Lors de la sortie à Paris, j’ai appris comment se passait une session à l’assemblée nationale et son fonctionnement, le déroulement des débats entre les différents partis politique et le rôle de chacun d’eux (députés, président de l’assemblée,ministres…), l’utilité des pièces comme la bibliothèque, la salle des pas perdus… Également,la découverte de l’histoire du quartiers des affaires, la Défense était intéressante et d’autres monuments comme l’Arc de triomphe, la Tour Eiffel, le musée du Louvre, la concorde, la cathédrale Notre-dame… »Marine

« Le voyage à Paris à été instructif pour ma part. J’ai de loin, préféré la visite guidée du quartier de la Défense, je trouvais ça très intéressant. Sur ce que j’ai retenu de cette journée, l’Assemblée nationale est l’endroit où se réunissent des députés pour voter et discuter des lois. Ils doivent ensuite envoyer leurs propositions au Sénat afin qu’il donne leur accord ou non, on appelle cela la navette. Les députés se retrouvent dans l’hémicycle à partir du mercredi jusqu’au vendredi. Les députés de droite se trouvent à droite et ceux de gauche à gauche du perchoir, lieu où se trouve le président de l’Assemblée nationale, celui-ci s’appelle actuellement Claude Bartolone. Ce qui m’a interpellé c’est notamment la taille de la bibliothèque de l’assemblée, et le nombre d’ouvrage qu’elle contient. L’Assemblée nationale et le Sénat forme 2 chambres.

L’Assemblée nationale est « la chambre basse » car les députés sont élus au suffrage universel direct par le peuple, le Sénat quant à lui est « la chambre haute » car les sénateurs sont élus par nos représentants c’est à dire des élus (conseillers municipaux, régionaux…). La Défense est un quartier d’affaires placé à l’Ouest de la capitale […] .

Le quartier de la Défense est dans le prolongement de l’axe historique parisien qui commence au palais du Louvre, se poursuit par l’avenue des Champs-Elysées, l’Arc de triomphe de l’Etoile, jusqu’au pont de Neuilly et l’Arche de la Défense. La Défense est un quartier mixte, elle accueille des bureaux d’entreprises mais aussi des logements. Le quartier s’étend sur une vaste dalle piétonne de 31 hectares. Sous cette dalle se trouve le métro qui permet un accès facile pour les salariés travaillant là-bas mais aussi pour la population venant se promener ou faire des achats. Environ 1 million de personnes passe par la Défense chaque jour. Il est devenu le quartier emblème de Paris.  » Mathilde

2nde PFEG – visite de Defontaine (La Bruffière)

Defontaine: une entreprise pérenne

Le jeudi 10 avril 2014, les élèves de seconde PFEG du lycée Champ Blanc, sont allés découvrir une entreprise dynamique et en évolution constante : l’entreprise Defontaine. Quelles sont les origines de cette entreprise ? Quelles évolutions a-t-elle vécues depuis ses débuts?

Créer en 1946, les frères Defontaine ont développé un commerce de qualité. Tout a commencé par l’industrie automobile avec les couronnes de démarreurs. Defontaine a continué son évolution en introduisant l’industrie des couronnes d’orientation (couronnes à billes ou à galets) utilisées dans des secteurs industriels très variés comme l’éolien, puis le domaine de l’aéronautique utilisant des matériaux plus rares et plus couteux, comme le titane. Des clients comme Peugeot, Renault, BMW, Airbus, Porsche, Ferrari … font la renommée de l’entreprise Defontaine. Elle comprend 812 employés (exerçant des métiers tels que forgerons, usineurs sur commande numérique, ajusteur – monteur et maintenance) sur la Bruffière.

Une visite enrichissante:

Tout d’abord les élèves ont été surpris de voir qu’un équipement était nécessaire pour partir à la découverte de la production (Protection de chaussures et lunettes pour assurer une meilleure sécurité). La visite a débuté par une présentation de l’entreprise par Mme Coutolleau, les élèves ont alors pris connaissance des aspects essentiels comme l’origine de l’entreprise et son évolution qui a conduit celle-ci à la mondialisation. En effet l’entreprise Defontaine est présente en France sur le site de la Bruffière mais aussi en Espagne, Tunisie, en Chine. Ensuite visite des bâtiments de production et découverte du processus de fabrication des couronnes. Tout commence par une barre d’acier brut qui est alors tournée pour donner la forme d’une couronne, celle-ci est ensuite soudée pour la rendre solide. Puis, la couronne subit un polissage pour lui donner un aspect argenté et brillant. Pour finir des formes différentes (fentes, trous …) sont percées dans celle-ci selon les divers usages.

Malgré la période de crise l’entreprise Defontaine ne parvient pas à recruter des tourneurs fraiseurs, pour cause le métier n’est plus enseigné aux nouvelles générations.

Laura D et Alice B, Seconde 5.

Madame Coutolleau (responsable formation) présente l’entreprise avant la visite

Defontaine: un savoir faire

Le 10 Avril 2014, les secondes de PFEG sont allés visiter l’entreprise Defontaine concepteur et producteur de couronnes pour l’éolien, pour l’automobile et l’aéronautique, et reconnu mondialement.

Crée en 1946, l’entreprise Defontaine se situe à la Bruffière, en Vendée. Cette entreprise a débuté en faisant des couronnes de démarreur pour l’automobile (Renault, Peugeot, BMW pour les plus connus, Porsche et Ferrari pour les plus prestigieux), puis la production s’est étendue vers le marché du poids lourd. (IVECO, MAN, RVI, SCANIA…) Ils se sont ensuite dirigés vers l’éolien et l’aéronautique. Pour produire ces différentes couronnes, pour des applications industrielles très diversifiées, il y a 1000 salariés dont 812 sur la Bruffière et 4 sites de production situés en Chine, Espagne et Tunisie.

Le savoir faire et la qualité reconnue de Defontaine sont des atouts majeurs dans les négociations commerciales mais des concurrents toujours plus nombreux et lointains géographiquement nous amènent à une vigilance permanente sur nos couts et nos prix.

Malgré la crise majeure d’emplois français depuis 2008, l’entreprise recherche actuellement des profils dans les métiers plus spécifiques comme le tournage et le fraisage, métiers qui, malheureusement, ont été délaissés pour des métiers plus tertiaires.

Clément C et Tom C

Le groupe d’élèves avec les guides de la visite

L’ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE OU FAIRE DE L’ÉCONOMIE AUTREMENT

 

«Faire de l’économie autrement», «Mettre l’homme au cœur de l’économie» «Profit et équité», «Intérêt général plutôt qu’intérêt particulier» …Est-ce possible aujourd’hui dans notre société qui est en perpétuel mouvement et qui a fait de la recherche du profit une priorité au sein de la plupart des entreprises ? Cette réflexion a été menée en terminale STMG le mercredi 25 janvier dernier avec l’appui de deux associations. Les deux intervenants, Madame Alice Goulaouic, chargée de développement de l’IRESA (Inter Réseau de l’Economie Sociale et Solidaire de l’Anjou) et Monsieur Périno, Directeur de l’Association La Halte du Cœur de Beaupréau, font partie des 10,5 % de salariés français travaillant dans l’économie sociale et solidaire, en Maine et Loire ce chiffre atteint 14 %. Ce secteur est aujourd’hui en plein développement, il représente actuellement 10 % du PIB, le mois de novembre lui est d’ailleurs pleinement consacré, nous en sommes cette année à la 8ème édition.

 

Cette intervention originale et interactive a mis les élèves en situation concrète. A partir d’un jeu de rôle simulant la création d’une entreprise dans le domaine des biscuits, les élèves sont confrontés à des choix de management, de politique salariale, de gestion, de finances……La mise en commun permet de constater qu’à priori peu d’entre eux intègrent les valeurs de l’économie sociale et solidaire dans leur entreprise. Une présentation par Mme Goulaouic de ce qu’est l’économie sociale et solidaire et des structures qui en font partie (associations, fondations, coopératives et mutuelles) a sensibilisé chacun au sujet. La présentation de l’association la Halte du Cœur par M.Périno a permis quant à elle de bien comprendre les finalités et les enjeux de cette économie sociale et solidaire.

Les élèves de premières ES du Lycée Champ-Blanc se sont retrouvés à Oradour sur Glane pour une sortie pédagogique le 10 avril 2014 accompagnés de leurs professeurs d’Histoire, d’allemand et d’économie.

Après la visite guidée du musée de la mémoire et le témoignage bouleversant d’un rescapé du massacre, les élèves ont pu découvrir la réalité de la barbarie nazie à travers lesruines duvillage-martyr…

Il s’agissait pour euxde mieux comprendre une page sombre de notre Histoire du XXème siècle et de donner du sens au devoir de mémoire. Ce travail se poursuivra en classe par l’élaboration d’une production finale.

Ci dessous quelques témoignages d’élèves :

Marion :

« J’ai trouvé cette sortie très intéressante. La visite du village et le témoignage m’ont beaucoup plus, même si j’aurai aimé avoir un guide lors de la visite du village martyr. J’ai également pris l’intérieur de l’église en photo,car c’est dans ce lieu que furent tués femmes et enfants, et c’est aussi ce lieu qui m’a le plus marqué dans le village. »

Tanguy :

« Pour ma part j’ai tout trouvé intéressant et enrichissant […]. J’aurais préféré aussi que le témoignage soit avant la visite du village.  »

Perrine

« J’aurai préféré avoir le témoignage avant la visite du village car il nous donnait des indications que l’on pouvait ensuite resituer dans le village (ex: la voiture calcinée du médecin). J’ai préféré le témoignage car il était intéressant et raconté en détails. J’ai trouvé cette sortie intéressante car cela nous donnait une image concrète par rapport à nos cours d’histoire sur la 2GM.  »

Matthieu :  » J’ai beaucoup apprécié cette visite cela est très enrichissant pour notre culture générale. On a pu prendre conscience de la violence des actes et on pu en savoir plus sur l’histoire d’Oradour (la ville avant le massacre, puis durant le massacre et enfin après le massacre). » Estelle :  » J’ai bien aimé l’exposition sur les femmes car ce n’est pas le genre de choses que je vois souvent. Le musée était une répétition de nos cours mais c’était quand même bien expliqué. Pour le village, je pensais voir plus de photos d’avant le drame afin de pouvoir comparer car j’ai du mal à m’imaginer un village vivant dans ces ruines. Le témoignage est très poignant et permet de se rendre compte que cela a vraiment existé.  »

La Soreel, entreprise d’avenir

Le 18 mars 2014, les élèves de seconde PFEG sont allés découvrir une entreprise dynamique et pleine d’avenir : la SOREEL (Société de réalisation d’équipements électriques). Quelles sont ses stratégies et ses priorités ? Portrait d’une entreprise à l’activité méconnue auprès des jeunes.

Situé à Cholet, le génie de l’électrique et de l’automatisme accueille les jeunes et apprentis à bras ouverts : “ Nous accordons beaucoup d’importance à l’accueil et à la formation des jeunes. On ne peut pas refuser les apprentis et après se plaindre qu’il n’y a plus de main d’œuvre” confie José Girard, responsable de la production. En effet, la Soreel développe son activité sur 5 domaines : les groupes électrogènes, l’énergie, les transports, l’environnement et l’OEM (machinerie). En France comme dans le monde, la concurrence est rude et le spécialiste de l’électrotechnique se démarque grâce à sa force commerciale et à sa proximité : l’entreprise est présente en particulier sur les chantiers navals de Saint-Nazaire. Mais son projet ne s’arrête pas là, la Soreel compte bien se faire connaître dans le monde entier afin de devenir le n°1 dans les transports en commun. La Chine, Dubaï et la Libye ont déjà fait appel à elle pour des tramways et métros. Intégrée depuis 2005 dans le groupe américain Kohler, la société ne cesse d’augmenter son chiffre d’affaires, aiguillée par son innovation, son esprit d’équipe, sa culture économique et son respect des engagements. Les deux sites de production français de la Soreel, Cholet et Dagneux, accueillent chaque année de nouvelles recrues. 215 salariés et 10 apprentis exercent la douzaine de métiers différents que regroupe l’entreprise choletaise. Une certaine agilité d’esprit et une bonne maîtrise de la langue anglaise sont nécessaires pour parvenir à se démarquer au sein de la Soreel.

La Soreel fait donc partie des entreprises florissantes actuelles et d’avenir qui recrutent dans un esprit d’équipe et d’efficacité.

Liza D

La SOREEL, une PME imposante sur le marché mondial

La SOREEL, entreprise dirigée par M. Jean-Louis PRIN, est la « Société de Réalisation d’Equipements Electriques » de la zone industrielle du Cormier, à Cholet, produisant des équipements électrotechniques destinés à des groupes électrogènes et des machines OEM (robots, climatiseurs,…) et recevant des commandes régulières dans les secteurs de l’énergie, des transports et de l’environnement.

Créée le 1er Janvier 1980 par des électriciens voulant perfectionner leurs métiers, la SOREEL a été rachetée par la firme multinationale, d’origine américaine, KOHLER. A ce jour, l’entreprise compte 215 employés dont 10 étudiants en alternance. Le personnel est très mixte sauf dans le secteur de la production qui représente plus de 50 % des salariés qui compte beaucoup plus d’hommes. La SOREEL est une entreprise “multi-tâches” car, elle compte environ 12 métiers différents ! La société fait partie des leaders en France sur le marché de l’électrotechnique et possède deux sites de productions : Cholet et Dagneux (à 30 minutes de Lyon). Avec un chiffre d’affaires en constante augmentation depuis sa création, de 40.5 Millions d’euros, la SOREEL représente 1% du chiffre d’affaires total du groupe américain KOHLER.

L’entreprise a une place importante sur le marché mondial car elle participe à la construction des différentes lignes de tramway des grandes villes françaises telles que Lyon, Nantes ou encore Rennes. Cette société reçoit aussi régulièrement de grosses commandes de pays comme la Chine, le Mexique ou les Émirats Arabes Unis. Elle s’occupe aussi des nouvelles plates-formes marines pétrolières. La SOREEL produit des armoires électriques allant de 3600 à 12000 ampères ! (Un compteur électrique ménager en produit 64 au maximum).

En attente de grosses commandes pour des paquebots, un avenir florissant s’ouvre aux bras de la SOREEL et peut-être une extension prochaine de l’atelier de production …

A Louis-Henry

sortie Littoral (seconde)

Le mardi 13 mai dernier, les 175 élèves de Seconde du lycée ont pris la route pour le littoral atlantique dans le cadre d’une sortie scolaire organisée par les professeurs d’Histoire-Géographie de ce niveau.

L’objectif de cette journée était d’envisager les espaces littoraux comme des lieux de vie originaux tant convoités que menacés par l’Homme.

Trois étapes sur le parcours ont permis aux élèves d’interroger les dimensions économiques, sociales et environnementales liées à l’appropriation de ces territoires.

Une approche de l’espace estuarien de Donges à Saint-Nazaire a mis en évidence le rôle stratégique de cette région dans le commerce de marchandises et la production énergétique, aux échelles nationales et internationales.

Les élèves ont également pu mesurer la tension que les activités humaines peuvent faire peser sur un écosystème fragile à travers une escale dans le marais briéron et un parcours d’orientation dans la station touristique de la Baule.

Aux dires de ceux qui l’ont vécue, cette agréable journée marquée par la bienveillance du soleil, semble être parvenue à combiner apports théoriques et expérimentations autonomes sur le terrain.